13 septembre 2019
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10:59
Encore une bonne blague de notre ami Seb Radix (Seb & The Rhââdicks, Kabuki Buddah, The Rubiks, Ricardo Tubbs Trio, Rock’n’roll Masturbation Rec) basse, guitare, chant.
Sous son nom et avec pas mal de dérives, ce dernier évolue maintenant depuis plusieurs années avec son projet solo.
Généralement accompagné pour les prises de son studio par « Pedro De la Hoya » il s’adjoint ici une vraie formation pour enregistrer ce disque.
Pauline (Tôle froide, KCIDY, Satellite Jockey, AB records) au clavier et chant, Oli (Death to pigs, Malaïse, Zone Infinie) à la batterie.
Une face en anglais, une en français. L’international près de chez vous.
Une constance, des titres chaloupés et entrainants pour chaque face.
"Lorna Doom" ouvre le bal avec un morceau bien groove qui fait bouger le popotin.
"This is good music, (but the guys are pricks)" un peu dans le même esprit "bougeage de popotin" mais avec un côté rock en plus qui arrache bien les poils.
Toutefois, la face B commence par une jolie balade "Presqu'île déserte" avec un texte assez poignant qui doit concerner pas mal d’entre nous…
Le disque s'achève avec un texte de "Renaud, Didier & Joe" à se rouler par terre, alors qu'ils balancent un rock du feu de dieu avec une conviction rare.
C’est rock, c’est pop, c’est de la chanson, mais pas de la variété !
On ressent les ambiances avec un petit côté Kitch, mais on ne peut pas s’en moquer.
Exécuté avec une telle classe, droit dans ses bottes, sans se prendre au sérieux, ça mérite le respect et c’est en cela qu’il est unique !
C’est sûrement un des gars les plus punk que j’ai croisé, mais propre, poli et qui sent bon. Appuyé par ces deux acolytes, le propos est transcendé sur ce disque.
N’est-ce pas là aujourd’hui un des meilleurs pied de nez à tous ces kids qui se lookent sans rien comprendre à un quelconque mouvement ?
On a pas besoin d’être crust pour être punk ! On a pas besoin de faire du punk 77 pour faire de la bonne musique.
Sous son nom et avec pas mal de dérives, ce dernier évolue maintenant depuis plusieurs années avec son projet solo.
Généralement accompagné pour les prises de son studio par « Pedro De la Hoya » il s’adjoint ici une vraie formation pour enregistrer ce disque.
Pauline (Tôle froide, KCIDY, Satellite Jockey, AB records) au clavier et chant, Oli (Death to pigs, Malaïse, Zone Infinie) à la batterie.
Une face en anglais, une en français. L’international près de chez vous.
Une constance, des titres chaloupés et entrainants pour chaque face.
"Lorna Doom" ouvre le bal avec un morceau bien groove qui fait bouger le popotin.
"This is good music, (but the guys are pricks)" un peu dans le même esprit "bougeage de popotin" mais avec un côté rock en plus qui arrache bien les poils.
Toutefois, la face B commence par une jolie balade "Presqu'île déserte" avec un texte assez poignant qui doit concerner pas mal d’entre nous…
Le disque s'achève avec un texte de "Renaud, Didier & Joe" à se rouler par terre, alors qu'ils balancent un rock du feu de dieu avec une conviction rare.
C’est rock, c’est pop, c’est de la chanson, mais pas de la variété !
On ressent les ambiances avec un petit côté Kitch, mais on ne peut pas s’en moquer.
Exécuté avec une telle classe, droit dans ses bottes, sans se prendre au sérieux, ça mérite le respect et c’est en cela qu’il est unique !
C’est sûrement un des gars les plus punk que j’ai croisé, mais propre, poli et qui sent bon. Appuyé par ces deux acolytes, le propos est transcendé sur ce disque.
N’est-ce pas là aujourd’hui un des meilleurs pied de nez à tous ces kids qui se lookent sans rien comprendre à un quelconque mouvement ?
On a pas besoin d’être crust pour être punk ! On a pas besoin de faire du punk 77 pour faire de la bonne musique.
En écouté ici : DARBI SEX EP
Co-prods : Ligature records, Bad Health Records, Musique Rasoire, Assos’Y’Song (ASS 013).
Co-prods : Ligature records, Bad Health Records, Musique Rasoire, Assos’Y’Song (ASS 013).